mercredi 27 février 2019

"Vendre PAT ou... dehors !" Néanmoins, Paix à son âme !


La F.N.P. édita aussi, dès 1947, un hebdomadaire baptisé "Pat Epate" vendu au prix de 3,50 de nos anciens petits francs belges.
Sans doute poussé par l'intérêt de sa trésorerie, le vicaire Druart se mit dans l'idée d'obliger ses grands patronnés à vendre ce périodique à leur maison et dans leur entourage.
Si les uns acceptaient, d'autres par contre refusaient catégoriquement de revendre cette jolie revue illustrée de BD, de prières, de mot-d'ordre, d'humour.
Et le vicaire, dare-dare, d'aller contacter leurs parents pensant les convaincre, à leur tour.
Cette démarche échoua. Il en résulta une autre décision du vicaire : les patronnés récalcitrants (donc en général "les grands") furent mis à la porte du Patro.
C'est ainsi que le Mouvement perdit la plupart de ses aînés et dirigeants.

Commentaires 
pas étonnant du vicaire druart . il avait le caractere a se faire respecter mais a ce point la j ignoreais.
a l heure actuel avec le pere joseph c etait de nouveau une fameuse embrouille.
Écrit par : pauwels jose | 27 juillet 2008

Eh oui, et me rappelle que celui qui ne venait pas un ou plusieurs dimanche au patro, devait le dimanche suivant s'acquitter quand même de sa cotisation de 2 francs par dimanche manquant.
Écrit par : Maurice Dupon | 27 juillet 2008

Comment pouvait-on être aussi "borné" ?
Personnellement, je me serais disputé avec lui s'il m'avait obligé à un tel marché.
Mais voilà, j'étais trop petit et je n'étais pas au patro du Bizet à cette époque.
Écrit par : Francis JOSEPH | 28 juillet 2008

Il est vrai que le vicaire Druart avait les idées étroites ! je sais que mon père a quitté le patro à cause de lui. Je sais aussi qu'il l'avait accusé de détourner ma mère du couvent !
Je sais qu'à l'époque ma grand-mère paternelle s'était disputée avec lui.
Écrit par : véronique Coquel | 29 juillet 2008


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