lundi 28 octobre 2019

Qui sont ces acteurs, en 1964 ?


Ce cliché n'est pas encore la preuve de ce que j'avançais, hier, à propos des cinq ménestrels qui chantèrent durant un entr'acte.  La pièce jouée pour l'occasion était CROQUE-MILLIONS, pour ceux qui s'en souviennent. C'était en 1964, très exactement !
Un billet de loterie était caché dans une potiche... celle de la Tante Aglaé.


mercredi 23 octobre 2019

Wouaw !!! Le groupe de chanteurs !


Bin voilà... puisqu'on est de retour au Bizet, voici un autre document d'une grande activité qui s'est déroulée... en quelle année encore ???
Telle est la 1ère question, aujourd'hui !
C'était pendant l'entr'acte d'une pièce de théâtre. Mais laquelle exactement ???
Voilà la 2e question !

Pour guider la réflexion, je signalerai un témoignage de José qui prétendait que... "

si j ai bien compris pendant que certain chanter face au public des chansons d hughe aufray et des compagnons de la chanson de l autre coter du rideau on retirer la nappe pour ne pas faire de tache et on ce servaient a boire on aura encore appris quelque chose .
merci michel du renseignement.

et bien... c'est faux !   Car, de un, je chantai avec lui et Jacques, Joseph et René
et de deux, ce n'est pas cette pièce-là.  

lundi 21 octobre 2019

Cours : Brelage et Pole Nord !

Article déjà paru le 24 octobre 2008

Voilà ce qu'en principe les Patronnés Bizétois au camp de Sosoye-Falaën en 1964 étaient censés réaliser avec des perches et de longs bâtons de bois assemblés et maintenus à l'aide de brelages. Mais, comme José le dit, et il a une sacrée mémoire, ce mobilier de fortune a été installé dans la grange.
Pour l'exécution des noeuds, il fallait bien connaitre cette spécialité scoute. C'est la raison pour laquelle, quelques semaines avant le départ du Bizet, nous avions organisé une journée préparatoire au camp.

Au programme, il fut prévu un séance d'apprentissage des noeuds qui n'eurent plus de secrets pour les habiles mains des futurs campeurs, ainsi que quelques notions sur l'utilisation d'une boussole.  





mercredi 16 octobre 2019

Préparer un feu de camp ou construire une table ?


Il faut admettre que, lors de cette photo, les règles de sécurité n'étaient pas très respectées.  Un coup maladroit du fer-main ou de hachette sur la chaussette, et c'était illico : direct à l'infirmerie. Mais, à Sosoye, y en avait-il une ?
Ce cliché illustre aussi le grand avantage que nous avions, là-bas, de disposer d'un bon petit stock de bois pour y installer du "mobilier - scout" réalisé par nous-mêmes grâce à la technique des noeuds et des brelages.

Avions-nous réussi à construire au moins une table avec ses deux bancs ???

mercredi 9 octobre 2019

C'est le Président qui portait le casse-croute


A bien examiner ce cliché... il pleuvait au cours de cette promenade !  Non, ce n'est pas les imperméables qui me le font dire, mais la mine résignée des campeurs. Jacques portait un béret militaire, Luc son bonnet de laine et Pascal sa toque du collège.
Quant à René, le Président, il se chargeait de porter le sac à dos rempli de tartines pour le "Quatre heures".
On était bien nourri, c'est vrai !

Quand je revois cette photo prêtée par José, je ne peux que mieux apprécier le dévouement de celui qui assurait la présidence du Patro de l'époque.
Les anciens te saluent, René !

lundi 7 octobre 2019

Pour monter dormir !...



La voilà cette fameuse échelle sur laquelle il fallait grimper pour "aller dormir" dans cet espace juste sous les combles .
Les fermiers d'autrefois avaient cette sagesse d'entreposer la paille au-dessus des étables : cela formait un énorme matelas isolant pour les bêtes qui ne craignaient pas les rigueurs de l'hiver.  La chaleur animale dégagée par les bêtes empêchait le gel de s'y installer.
Mieux, la pièce principale du logis se situait tout à côté du local où vivait le bétail. On peut s'imaginer que, pour toute la famille agricole, 'il faisait bon y vivre.

Quant à nous, les Patronnés du Bizet, nous profitions seulement du charme champêtre de cette ferme typiquement ardennaise, avec quelques senteurs bien plus typiques que... la fumée de cigarette !