mardi 3 décembre 2019

Des souvenirs qui datent de 1967...?

22 novembre 2008  (Cette date se rapporte à une première parution de ces articles)

A Bellefontaine, en 1967

Holl bellefontaine 65.jpg
S'agit-il bien, ici, d'une photo de Bellefontaine ???
Avec un patronné qu'on a rarement vu jusqu'à présent et qui pourtant, n'a jamais hésité à apporter le coup de main technique qu'il fallait pour se tirer d'embarras.
A 3 km de Petit-Fayt et à 3 km de Monceau... indiquent les panneaux !
Je m'en vais illico contrôler sur google-map si on est bien à Bellefontaine.
En 1967 !!!
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Commentaires

voila le service militaire accomplie , aussi pour marc qui lui etait a ansberg (all) et moi a kassel (all) .
je vous parlerait pas de la demob que l on a fait ensemble , et c est aussi ensemble que nous avons fait la fameuse chasse au dahu , toute une organisation avec les filets de sac de pomme de terre qui etait cautionner et que le vicaire voulait les recuperers pour quelque fr.
cela c fait la nuit dans les bois avec marc qui lui et moi possedons un siffler et environ toutes les minutes il fallait faire un petit signal avec le sifflet ,a un certain moment plus de reponse de l autre coter plus de sifflet .
marc etait tomber endormie .
il y a d autres histoire mais je laisserait le soin a francis car les filets il y avait de la couture a faire n estce pas francis.
ce fut un tres beau camp.
Écrit par : jose | 22 novembre 2008
comme tu le dit michel , ce marc en a fait des petites chose ou reparer , c etait un peut comme ils disent au theatre de ploegsteert LE MARC GYVER.SI TU ME LIT MARC TA LE BONJOUR DE POPO .
SALUT.
un autre gars que l on a jamais apercu sur les photos c francis van massenhove alors que lui on la bien eu besoin pour remorquer la charette qu il tirer derriere son velos car a bellefontaine nous avons ete en velos en 2 etapes quelle aventure avec 1 arret a chimay , tient pourquoi chimay .
je laisse le clavier a d autres.
Écrit par : jose | 23 novembre 2008
Quelle expédition en vélo! Je crois que c'était les grands qui ont fait cette aventure
Eh oui Francis avait fière allure avec sa charrette! Pourquoi Chimay? Tout simplement pcq les moines nous offraient leur hospitalité, pas pour la bière . Après une bonne nuit le lendemain on s'attaquait à ,la côte de Révin.
Nous nous étions entrainés pendant des semaines pour ce périple
On dormait dans des tentes abl
Écrit par : Momo | 23 novembre 2008
C'étaient les conquérants et les aînés qui dormaient dans des tentes.
Les plus jeunes dormaient à l'abri dans le bâtiment.
C'étaient Marie-Henriette Daeren et Marcel Verslype qui étaient nos cuistots.
Sur le chemin du retour, notre ami Marc Ooghe a dévalé la côte de Revin à vive allure et s'est retrouvé dans le décor et sa roue avant formait un huit.
Nous avons dû trouver un marchand de vélos pour y mettre une nouvelle roue.
Marc a souffert de l'épaule pendant plusieurs mois.
Que de souvenirs !
Écrit par : Francis JOSEPH | 23 novembre 2008
voila des souvenirs qui revienne francis 1 parmis tant d autres .
mais c etait quelle camp encore ou g peeren et marc sont aller en scooter.
a peine de retour au bizet du camp nous sommes aller a la panne faire du camping a la panne quelques jours avec la meme charette que francis tirer en ce demandant si elle aller tenir le coup.
Écrit par : jose | 23 novembre 2008
Momo, nous avons quand même reçu une trappiste comme boisson à notre repas.
A l'heure actuelle, ce serait une trappiste avec une capsule rouge.
Écrit par : Francis JOSEPH | 23 novembre 2008
A José, cette démob au Bizet, parlons-en : quelle épopée !!! bien arrosée et de bonnes bières bien sûr !
Écrit par : Francis JOSEPH | 23 novembre 2008
nos chaussures etait percer.(non non pas de trou)
)j en dirait pas plus.salut francis
Écrit par : jose | 23 novembre 2008
A "Momo":
nous n'avions pas logé à l'abbaye, mais nous avions pu nous restaurer à la halte prévue.
Après un repas copieux, fait de fromage, de pain et de trappiste, nous avons à nouveau enfourché nos bicyclettes pour nous rendre dans une ferme et y trouver le gîte pour la nuit.
Écrit par : Francis JOSEPH | 25 novembre 2008

21 novembre 2008

Buccolique, dans les bois !

Holl Gendron en foret.jpg
Holl Gendron ruisseau pont.jpg
Si les Conquérants à Gendron, dirigés par Pascal B, André P, et Philippe D. ont réalisé cette promenade la même journée, alors, là, les gars... ils doivent avoir passé une excellente journée.
Un long chemin rectiligne en sous-bois, éclairé d'un raie de lumière... et plus loin, un ruisseau à torrents qu'enjambe un petit pont de bois ou de pierre... rien de tel pour s'émerveiller, à 13 - 15 ans, devant cette beauté silencieuse que nous offrent les coins cachés ardennais.

Demain... nous partons pour Bellefontaine, autre village de la.... Région Wallonne, un terme qui n'existait pas à l'époque.

Conquérants à la conquête !

collection josé P 004.jpg
Partons en promenade !  Autour de Gendron, avec les Conquérants !   Car, avec ce cliché, pourrait-on imaginer un camp... à la mer ! Mais non !
Un bon petit exercice pour reconnaître qui composaient cette équipe.
Hélas, aucune photo de "grands", de Traceurs, Guides ou autres Explorateurs ! 

19 novembre 2008

A table, les campeurs du Patro

Holl Gendron refectoire.jpg

Qu'y avait-il au menu, ce midi-là ?
J'y découvre quelques indices : René D., le président, passe dans les tables avec une marmite !
Des bouteilles de bière ou cola se dressent sur la table.
Par contre, au fond sur la droite, on ne distingue pas s'il s'agit de... vin ou de limonade !
En tout cas, ce cliché est magnifique pour se rappeler du décor de Gendron.

18 novembre 2008

Bien se laver derrière les oreilles !

Holl Gendron toilette.jpg
Désolé, mais je ne peux rien raconter à propos des réveils matinaux, lorsque les campeurs devaient aller se débarbouiller au ruisseau.
Se brosser les dents ?  L'eau était-elle propre ?
Se laver les pieds ?  L'eau était-elle glacée ?

17 novembre 2008

En passant par le Château de Vêves !

Holl Gendron veves.jpg

Au verso de cette photo que nous procure André, il est écrit : "En revenant du Hike, de Sorinne - Château de Vesves"
Voilà qui doit réveiller des souvenirs.
Et... André devait vraisemblablement être le seul photographe de ce camp-là.

16 novembre 2008

Restons une semaine à Gendron !

Holl Gendron brelage.jpg
Grâce à André P., il nous est possible de nous souvenir de ce camp 1966 passé à Gendron-Celles, non loin de Hoyet. Là où la sineuse Lesse passe et qui fait aujourd'hui, un lieu de rendez-vous très prisé des amateurs de kayak.
Le 24 octobre, la note concernait un week-end préparatif pour le camp : mais, il y avait erreur ! C'était bien pour le séjour à Gendron, et non pas celui de Sosoye. Pardon.
La photo ci-dessus montre quelques Conquérants ou Chevaliers à l'oeuvre lors de la montée de leur bivouac. De quoi passer de la théorie à la pratique.
Dans le fond, un préau à deux pentes nous servait de réfectoire.

14 novembre 2008

Qui possède une photo de Gendron ?

2 Holl gendron.jpg
Bizarement, le camp de Gendron-Celles, près de Houyet, en 1966 n'aura pas laissé un souvenir intarrissable dans les mémoires des participants.
Fort heureusement, nous avons pu nous en rappeler quelques facettes grâce à la revue trimestrielle qu'éditait le Patro de l'époque.
Regrettable aussi, le fait que les photos sont excessivement rares.
Sauf celle-ci... la seule, qui a dû vraisemblablement prise lors d'un "hike", le premier que connut le Patro.
Cette activité durait... 24 heures, et avait pour objectif d'envoyer les équipes vers quatre patelins différents qui devait être Hulsonniaux, Foy-Notre-Dame, Falmignoul et ???.
Chaque équipe devait se débrouiller pour trouver l'itinéraire, pour loger la nuit, et disposer de 20 FB pour la nourriture de toute l'équipe.
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12 novembre 2008

4e camp du Patro : en 1966


2 holl tour du rocher.jpg
Pour monter vers les cîmes, il faut le travail en équipes. Le danger d'escalade est grand; groupons-nous autour de nos chefs, suivons exactement toutes les consignes. Le nom de chaque équipe sera le cri de ralliement. Je défends mes couleurs par mon obéissance et mon exactitude.
Chef de camp : René Daeren
Dirigeants des Chevaliers : Pascal Bryon, André Pauwels, Philippe Debaene
Voici les équipes :
Ecuyers : Bruno Debaene, Roland Verslype, Jean-Marie Rotsaert, Christian Vannieuwkerke, Patrick Dehem
Troubadours : Bruno Sieuw, Luc Dekyndt, Eddy Derudder, Jean-Jacques Salembier, Didier Smagghe
Ménestrels : Christian Dufour, Francis Delarue, Joël Dufour, Didier Goudeseune, Patrick Lempière, Dominique Delobel
Les Exlorateurs : René Tancrez, Gérard Peeren, Jacques Delarue, Régis Dolphen, Michel Sieuw, Alain Verslype
Les Guides : Jacques Schouteten, Luc Deconinck, Serge Goudeseune, Eric De Kee, Guy Hollaert, Patrick Vantomme, Joseph Dupon
Les Eclaireurs : Jean-Marie Schouteten, Michel Verslype, Maurice Dupon, Alain Vandamme, Michel Denolf, Michel Vandenabeele
Les Traceurs : Michel De Witte, Francis Joseph, André Vandenabeele, Guy Dewaele, Francis Van Acker, Eric Ooghe
Le texte précédent est extrait intégralement du Trait d'Union précédent le camp annuel, en Ardennes.Ce camp s'est déroulé du 1er au 11 août 1966, à Gendron-Celles, chez Mme Brasseur.
La photo : la Tour du Rocher, (domaine royal) dominant la vallée de la Lesse, que les Bizétois ont aperçu, de leur campement, dix jours durant.

lundi 18 novembre 2019

Ce qu'on en disait il y a 11 ans !...

10 novembre 2008

La mémoire va revenir, je le sens !

Col theatre.jpg
Avec ce cliché-ci, toujours dans le domaine du théâtre, nous allons tout doucement entrer dans une nouvelle génération du Patro.
Mais comme actuellement, nous réfléchissons beaucoup sur le plaisir des planches de cette scène drapée de tristes rideaux gris pour toutes les pièces, restons-y en espérant que la mémoire de celui qui ne regarde pas le petit oiseau sortir revienne.
Votre serviteur est incapable de donner le titre de la comédie interprétée, puisque, vraisemblablement, elle le fut au moins cinq ans après qu'il eut quitté les rassemblements dominicaux, en chemises vertes.

Invitation cordiale aux commentateurs !...

09 novembre 2008

Aurait-on la mémoire qui flanche ?


1°) Toujours extrait de "Mon Cousin de Santiagon", voilà, CYPRIEN, chauffeur (Serge G.) en conversation avec JEROME, domestique (Michel V.) assis derrière une table que couvrait une nappe ! Mais, pour ceux qui ont le sens de l'observation, la nappe... était-ce la même que celle de "La Vipère Rouge" ?
2°) Comme Francis J. craint avoir des trous de mémoire, on va lui remettre un autre cliché qui l'aidra peut-être à se souvenir du rôle de "comédien" qu'il tenait dans cette pièce.
2 Holl fr jos theatre.jpg

08 novembre 2008

Encore du Théâtre avec son cousin !

Holl cousin santiago.jpg


L'action se passe dans le petit salon de Monsieur André Jacquelin, inventeur. Les recherches qu'il a entreprises avec son associé Gilbert Colville lui ont rapporté plus de dettes que de réussites. Par chance, un héritage aussi important qu'inattendu lui échoit. Que faire pour entrer en possession de cet argent, sans que les créanciers s'y opposent ?

C'était, le 14 mars 1966, une comédie bouffe en 3 actes.
MON COUSIN DE SANTIAGO.
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question du jour : Quel rôle tenait le... Père Joseph ?

07 novembre 2008

Attention au péché de chair !

Holl sosoye piscine.jpg
Vue générale sur le piscine. L'eau, selon José, était verte.
Cette photo est très éloquente quant à la présence réconfortante du soleil et à l'envie d'y faire bronzette.
Mais était-ce bien raisonable de risquer de désobéir au 6e commandement ?
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Question du jour : Deux prêtres savourent l'instant. Mais où sont-ils ?

06 novembre 2008

Neuf ans avant Mark Spitz ?

Holl sosoye plongeon.jpg
Faute d'archives relatives au camp de Maboge, dont les commentaires ont presque tout dit, et, avant de repartir pour le prochain camp à Gendron, en 1966, voici une photo pour le moins musclée. Sous le soleil, cinq grands gaillards, à moitié nus, prêts à plonger dans une piscine en plein air, et tout ça dans le cadre du Patronage, voilà qui peut paraître insolite. Ca se passait au camp de Sosoye-Falaën. Etait-ce dans la piscine de l'Abbaye de Maredsous ?? Je ne sais plus.
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Question du jour : A bien observer ces Bizétois, qui sait nager, qui ne sait pas ?

05 novembre 2008

Les deux Dupon (t ou d)  écrivaient !

Camp maboge 1965.JPG
Voici le verso de la carte postale, qui prouve bien que le camp de Maboge s'est déroulé en 1965.
Bien que Maurice nous commentait, hier, que c'était pour lui le plus beau souvenir des camps Patro,
on se demande toutefois s'il a bien dormi.
A moins que ce ne soit... l'autre Dupon ! Joseph de son prénom.

04 novembre 2008

Les équipes au camp de Maboge

camp du patro Maboge 1964.jpgJoli cliché que celui-ci, prêté par Maurice D, que l'on reconnait ici, en avant-plan, au cours d'un repas.
Rouvrons un Trait-d'Union de l'époque. On y apprend entre autre que le prix de participation était de 550 FB. Cela fait presque 14 € pour 11 jours, transport compris. Une moyenne de 1,20 euro par jour. Avouons que ce n'était pas cher demandé !

..... LES EQUIPES AU CAMP.........
Comme le thème général du camp est l'ouverture des jeunes à tout ce qui est beau, noble et grand, nos gars iront à la découverte de cette nature si belle de nos Ardennes. Comme des Indiens, ils iront franchir des rochers et parcourir des forêts pour mieux savoir lutter contre le mauvais esprit qui, de nos jours, rôde autour des jeunes. C'est sous la conduite de leur chef Géronimo que nos "Indiens du Bizet" défendront journellement leurs couleurs tant dans l'exercice du mot d'ordre, que dans les jeux, les corvées.
Les Sioux : JJ. Salembier, Christian Dufour, Roland Verslype, Didier Smagghe, Eddy Deberdt
Les Cheyennes : Michel Sieuw, Joseph Dupon, Bruno Debaene, Luc Dekyndt
Les Hurons : Jacques Schouteten, Serge Goudeseune, André Vandenabeele, Philippe Debaene, Régis Dolphen
Les Iroquois : Gérard De Witte, Francis Joseph, André Pauwels, Luc Deconinck, Jacques Delarue, Guy Dewaele
Les Séminoles : René Tancrez, José Pauwels, Gérard Peeren, Maurice Dupon
Les Apaches : Jean-Marie Schouteten, Joseph Tancrez, Michel Verslype, Eric De Kee, Michel Vandenabeele, Alain Verslype


Question du jour : Quelle était l'adresse de ce camp, à Maboge ?

TRAIT D'UNION : Un article écrit par A. Volt

Maboge catre postale de 1965.JPG

Perdu au coeur des Ardennes

C'est dans ce gentil coin des Ardennes perdu au milieu de ces magnifiques forêts de sapins que nos Patronnés ont passé leur camp.
Ces onze jours furent certainement les plus beaux de leurs vacances. Ce village, Maboge, n'est qu'une infime partie de notre beau pays qui nous cache encore combien de merveilles. Ce camp fut vraiment une découverte de la nature si jolie au milieu d'un monde merveilleux où nous nous sentons si petits.

Dans le bus, en approchant du charmant clocher qui nous abrita durant ce séjour trop court, tous les campeurs ont regardé, le nez au carreau, ce pays qu'ils avaient tant attendu. Une fois arrivés sur place, nous partîmes vers ces monts qui nous cachaient d'autres et encore d'autres paysages toujours renouvelés, et ceci durant tout notre camp. Tout était là pour nous permettre un camp merveilleux.

Ainsi ce cours d'eau sinueux, aux allures purement ardennaises, qu'est l'Ourthe, nous donnait toutes les joies rêvées. De très jolis points de vue nous laissaient admirer les Six Ourthes, notre village, qui était devenu le nôtre; car il nous avait reçu bien amicalement sous son clocher. Celui-ci semblait veiller sur son petit chapelet de maisons de pierres. Je revois encore ces petites boutiques au plafond bas et au pavement bosselé où régnait un air ardennais.

Nous étions les bienvenus également dans les villages voisins et nous nous sentions vraiment chez nous. Ces villages, au toit d'ardoises couvrant des bâtisses aux étroites fenêtres se ressemblent toutes, mais quelque chose leur donne un attrait, une légende peut-être. Nous ne manquions certes pas d'être parfois séduits par l'une ou l'autre chose typique comme ces fontaines qui font partie du décor et donnent un aspect spécial.

La forêt qui forme une écharpe semblant protéger ces bourgs nous laissent de temps à autre apercevoir des animaux tels que les sangliers aux apparences paisibles. Les vallées, déjà merveilleuses, resplendissaient encore de couleurs chatoyantes que leur imprimaient les tentes et les caravanes éparses. Tant de fois nous sommes passés dans ces chemins, sentiers et sous-bois embaumés d'un parfum naturel, le coeur gai, chantant nos joyeux refrains pour nous en aller dans les grands bois verts, y fouler la tendre mousse sans nous soucier de ce demain sera fait.

Le soir, à la tombée de la nuit, tous nous nous rassemblions pour passer une veillée qui faisait oublier la fatigue et nous mettait en fête. Tout ceci n'est que faible description vis-à-vis des merveilles que nous offre cette contrée, il faut réellement y vivre pour les apprécier à leur juste valeur.
Chacun eut le coeur lourd en quittant, d'un pas moins alerte que onze jours auparavant, ce charmant ville perdu au coeur des Ardennes déjà devenu nôtre et qui, une fois le départ pris, nous faisait tourner la t^te comme pour lui dire un dernier adieu.
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Question du jour : Qui se cachait sous ce pseudonyme ??

03 novembre 2008

Après les processions, les unions !

Fill mariage VMSH Bus.jpg
N'aurait-il pas été blasphématoire d'affirmer, il y a quarante ans, que les Patros n'étaient ni plus ni moins qu'une... agence matrimoniale ou..., mieux, une "ruche à curés ou a bonnes soeurs".
Pourtant, à l'époque des sixties, la séparation des filles et des garçons se devait d'être concrète et respectée. Et gare à ceux ou celles qui osaient braver l'interdit !

Aux processions : les garçons devant, les filles derrière.
A l'église : les filles à droite de la nef, les garçons à gauche !
Aux jeux : interdiction de partager la cour, les bois ! Mon Dieu ! Qu'aurait-Il pensé de ces premiers baisers volés à l'ombre du Calvaire ?

Pourtant, nombreux, très nombreux ont été les couples qui se font formés au sein des Patros bizéto-ploegsteertois. Tous n'ont pas réussi à tenir le coup. Mais... il NE faut PAS JUGER !

De semblables photos à celle présentée ici, il en existe des dizaines !
Ce Blog se limitera uniquement à celle de Jacqueline VMS et Jacques B, tout sourire devant la vie qui les attend.
Les mariés sont entourés des chemises vertes féminines du Bizet et des chemises vertes masculines du Ploegsteert.
Ce cliché n'est-il pas débordant de jeunesse et de fraîcheur ?

Un mot aussi pour les quelques Patronné(e)s qui ont choisi une autre voie : celle qu'implique des voeux religieux ! Monique et Arlette, ont fait ce choix et leur sourires sont encore tout aussi débordant de jeunesse et de fraîcheur.
 

02 novembre 2008

Bravo Ghislaine !



Fille procession.jpg
Bravo Ghislaine ! La pointe des ailes ne doivent-elles pas être orientées par le bas ?
C'est comme le sens d'orientation des pigeons : jamais personne n'a pu en donner les raisons.
Mais, dans le cas de Jacqueline D., qui portait fièrement cet artifice vestimentaire théâtral à l'envers... disons qu'elle fit comme Malbrouck...

Pour la photo de "Bievenue" en procession, il s'agissait bien de l'installation de l'ancien curé Gérard Dermauw du Bizet vers la paroisse de Risqons-Tout à Mouscron. La rue ???? Peu importe !

samedi 16 novembre 2019

Dorénavant, on accélère avec les vieilles photos !

01 novembre 2008

A l'envers... c'est plus beau !!

Fill procession.jpg
Aujourd'hui, jour de la Toussaint, après m'être rendu au cimetière du village pour raviver mes souvenirs de prime jeunesse, non pas ceux du Patro, mais ceux qui sont encore antérieurs à ceux de la chemise verte. " Fête de tous les saints" disait-on en chaire de vérité.
Alors voilà un cliché qui réprésente une sainte. Avec le sourire de Jacqueline D., suivie d'une bande de marmots dont on reconnait quelques visages.
"A l'envers... c'est plus beau !" Mon bien curieux titre pour cette note va à nouveau poser des questions à la bloggosphère du Patro.
Pourquoi ?
A demain pour la réponse aux deux dernières intrigues.




31 octobre 2008

Pfff... Encore une procession ???

Holl install cure dermauw.jpg
Cette fois-ci, les Bloggeurs d "Autrefois, le Patro du Bizet" vont caler à la question qui leur est proposée.
C'est pourtant simple, si on y réfléchit !
Depuis le temps que l'une d'entre vous passent son temps à comptabiliser ses cousins et cousines qui passent à l'écran, depuis qu'un autre joue les policiers de service, et enfin qu'une soeur exprime sa nostalgie du passé ! En effet, "on ne peut être et avoir été !"

Le cliché présenté rappelle quoi ? Quand ? Et où ?

30 octobre 2008

On défile... les bras croisés !!!

Holl procession.jpg
"Les Garçons : devant ! Les Filles : derrière !
On tient les bras croisés !
Et on regarde devant soi !"

Non, mais quoi encore ?
Pourtant, on l'a tous vécue, en chemise verte, cette vie dévote !

Non, cette fois-ci... pas de problème pour identifier les gars, ni le carrefour !
Mais... c'était en quelle année ? Un indice : l'arrivée de la photo-couleur !

29 octobre 2008

Une pensée pour Momo 



procession en 60 ou 61.jpg
Bin oui !... C'est Maurice D. qui nous a prêté cette ravissante photo qui témoigne d'une époque durant laquelle les écoliers et les patronnés savaient encore se tenir... les bras croisés. signe d'obéissance à l'autorité.
De plus, il s'agissait probablement d'une procession. Grand Tour ? ou Petit Tour.
Un autre détail curieux de ce cliché est le décor offert par la maison de Jeannette VDK, la grille qui servait de garde-fou au petit pont qu'enjambait le ruisseau des Rabecques. La portion de pignon de droite est sans doute l'un des seul témoin photographique de cette rangée de maisons qui existait à l'endroit du square, au carrefour de la rue des 3 Evéchés et de la rue du Touquet.

Voilà pour mon commentaire. Mais qui peut identifier tous les gamins ?

jeudi 7 novembre 2019

L'auriez-vous reconnu ?



Ce n'est pas parce qu'il n'est pas de la famille des cousins abonnés à ce Blog que l'ami Jacques S. n'aie pas droit à sa photo.
J'avoue qu'il faut savoir que c'est lui.
Quel rôle jouait-il ? Chercheur scientifique, pharmacien, oeunologue ?
C'était dans Croque-Millions !

Allez, cette photo sera la dernière prise sur les planches.
Demain, on lève un autre voile !
Lequel ?


mardi 5 novembre 2019

La seule fois de ma vie que j'ai été ligoté !



Jouée à la fin de l'hiver 1964, cette comédie de "Croque-Millions" remporta un vif succès ponctué par de nombreux éclats de rire.
Dans ma mémoire, l'histoire a totalement disparu. Mais... grâce à une affiche jaune annonçant ce concert théâtral, on peut s'étonner du prix d'entrée pour assister à cette représentation unique.
Quel travail pour une seule représentation !
Quant au prix, devinez ! C'était 42 ans avant l'Euro ! Ceci pour vous aider !


dimanche 3 novembre 2019

J'ai beau le regarder mais... je ne vois pas ! C'était de qui cette réplique ?


Revenons maintenant à la photo de ce quinted chanteur pendant l'entr'acte. Observez bien l'accoutrement vestimentaire de l'ami José : uniforme de garde-champêtre, matraque blanche, grosses moustaches !
Et qui voit-on au milieu de cette photo, coiffé d'un képi ?
C'était bien dans Croque-Millions.
Et... sur la table : pas de nappe !

Question : le barbu... qui était-ce ?

lundi 28 octobre 2019

Qui sont ces acteurs, en 1964 ?


Ce cliché n'est pas encore la preuve de ce que j'avançais, hier, à propos des cinq ménestrels qui chantèrent durant un entr'acte.  La pièce jouée pour l'occasion était CROQUE-MILLIONS, pour ceux qui s'en souviennent. C'était en 1964, très exactement !
Un billet de loterie était caché dans une potiche... celle de la Tante Aglaé.


mercredi 23 octobre 2019

Wouaw !!! Le groupe de chanteurs !


Bin voilà... puisqu'on est de retour au Bizet, voici un autre document d'une grande activité qui s'est déroulée... en quelle année encore ???
Telle est la 1ère question, aujourd'hui !
C'était pendant l'entr'acte d'une pièce de théâtre. Mais laquelle exactement ???
Voilà la 2e question !

Pour guider la réflexion, je signalerai un témoignage de José qui prétendait que... "

si j ai bien compris pendant que certain chanter face au public des chansons d hughe aufray et des compagnons de la chanson de l autre coter du rideau on retirer la nappe pour ne pas faire de tache et on ce servaient a boire on aura encore appris quelque chose .
merci michel du renseignement.

et bien... c'est faux !   Car, de un, je chantai avec lui et Jacques, Joseph et René
et de deux, ce n'est pas cette pièce-là.  

lundi 21 octobre 2019

Cours : Brelage et Pole Nord !

Article déjà paru le 24 octobre 2008

Voilà ce qu'en principe les Patronnés Bizétois au camp de Sosoye-Falaën en 1964 étaient censés réaliser avec des perches et de longs bâtons de bois assemblés et maintenus à l'aide de brelages. Mais, comme José le dit, et il a une sacrée mémoire, ce mobilier de fortune a été installé dans la grange.
Pour l'exécution des noeuds, il fallait bien connaitre cette spécialité scoute. C'est la raison pour laquelle, quelques semaines avant le départ du Bizet, nous avions organisé une journée préparatoire au camp.

Au programme, il fut prévu un séance d'apprentissage des noeuds qui n'eurent plus de secrets pour les habiles mains des futurs campeurs, ainsi que quelques notions sur l'utilisation d'une boussole.  





mercredi 16 octobre 2019

Préparer un feu de camp ou construire une table ?


Il faut admettre que, lors de cette photo, les règles de sécurité n'étaient pas très respectées.  Un coup maladroit du fer-main ou de hachette sur la chaussette, et c'était illico : direct à l'infirmerie. Mais, à Sosoye, y en avait-il une ?
Ce cliché illustre aussi le grand avantage que nous avions, là-bas, de disposer d'un bon petit stock de bois pour y installer du "mobilier - scout" réalisé par nous-mêmes grâce à la technique des noeuds et des brelages.

Avions-nous réussi à construire au moins une table avec ses deux bancs ???

mercredi 9 octobre 2019

C'est le Président qui portait le casse-croute


A bien examiner ce cliché... il pleuvait au cours de cette promenade !  Non, ce n'est pas les imperméables qui me le font dire, mais la mine résignée des campeurs. Jacques portait un béret militaire, Luc son bonnet de laine et Pascal sa toque du collège.
Quant à René, le Président, il se chargeait de porter le sac à dos rempli de tartines pour le "Quatre heures".
On était bien nourri, c'est vrai !

Quand je revois cette photo prêtée par José, je ne peux que mieux apprécier le dévouement de celui qui assurait la présidence du Patro de l'époque.
Les anciens te saluent, René !

lundi 7 octobre 2019

Pour monter dormir !...



La voilà cette fameuse échelle sur laquelle il fallait grimper pour "aller dormir" dans cet espace juste sous les combles .
Les fermiers d'autrefois avaient cette sagesse d'entreposer la paille au-dessus des étables : cela formait un énorme matelas isolant pour les bêtes qui ne craignaient pas les rigueurs de l'hiver.  La chaleur animale dégagée par les bêtes empêchait le gel de s'y installer.
Mieux, la pièce principale du logis se situait tout à côté du local où vivait le bétail. On peut s'imaginer que, pour toute la famille agricole, 'il faisait bon y vivre.

Quant à nous, les Patronnés du Bizet, nous profitions seulement du charme champêtre de cette ferme typiquement ardennaise, avec quelques senteurs bien plus typiques que... la fumée de cigarette !

lundi 30 septembre 2019

Drôles de grottes !


Et dire que nos ancêtres habitaient ces grottes !
Un cliché pris au cours d'une balade-découverte de la région de Falaën. Serait-ce donc ce lieu qui aurait incité les Patronnés en camp à se répartir en quatre équipes : les Trévires, les Eburons, les Nerviens et les Morins... Ces derniers se plaisent encore à rappeler une dérision amusante qui les faisaient rire : "Nous les Morins, nous buvons le sang dans le crâne de nos ennemis".  C'est ce qu'on disait à 18 ans.
Aujourd'hui  (nous étions en 2008), si proche de Maredsous, ces sexagénaires préfèreraient savourer la bière de l'abbaye dans la chope en grès vernissée grise.
Non ?

vendredi 27 septembre 2019

Sosoye - Falaën, un camp à la ferme !


Voici donc la ferme où les Campeurs du Bizet ont logé en 1964 : à Sosoye-Falaën, près de Maredsous.
Ce cliché offre une belle vue d'ensemble de la cour de ferme au milieu de laquelle, jutait un odorant fumier qu'appréciaient les poules... et même un patronné non-reconnaissable.
La grande porte cochère du bâtiment en vieilles pierres, donnait sur une immense grange, là où le vicaire célébrait, sur son petit autel portable (une valise contenant le calice, la patène, la palle et les burettes + le vin blanc  (hic)) la messe journalière... obligatoire.

Qui étaient les cuistots ?  Sans certitude, je pense à Marie-Henriette et Marcel ?  Est-ce que je me trompe ?

lundi 23 septembre 2019

Nouvelle expédition vers les Ardennes !



Les rails, du côté gauche de la photo, indiquent que les Garçons sont à nouveau... dans une gare !  Mais laquelle ?
Et à destination de quel village ardennais ?  A bien examiner les "kidbag" que l'ami José porte sur la tête, on peut y lire l'endroit du camp de 1964.
En regardant bien aussi le fanion qu'exhibe fièrement le regretté Luc D. il y est marqué "Trévires".
Mais que signifiait donc ce nom d'une peuplade d'anciens Belges.
Ce camp, pour ceux qui s'en souviennent, fut placé sous le thème de notre bien lointaine histoire.
Les campeurs étaient divisés en quatre équipes, qui, au cours des dix jours d'exil dans la très coquette vallée de la Molignée, devaient se distinguer par un louable respect du mot d'ordre quotidien.
Il y avait : les Trévires, les Eburons, les Nerviens et les Morins.
Bizarre... aucune équipe n'a voulu emprunter le nom de Ménapiens. Que non, ils avaient la réputation de n'être que des mangeurs de patates !
D'autres photos suivront pour évoquer cette inoubliable épopée !

samedi 21 septembre 2019

Les filles retournent au "Couvent"



Si mes souvenirs sont bons  (je disais cela en octobre 2008), c'est à peu près à l'époque de la remise en peinture des salles du Couvent, que le clergé de l'époque 1960-1962 avec les abbés Dermaux (curé) et Hollaert (vicaire),  décida de doter le parc de l'Ancien Alumnat des Pères Assomptionnistes, d'engins de jeux tels balançoires, tobogan, manège sans oublier le grand bateau.

C'est sur ce dernier que l'on peut apercevoir les Patronnées photographiées très probablement en automne alors que le soleil était déjà bien bas dans le ciel. Cet dimanche après-midi-là procura à ce cliché un contraste gênant pour bien reconnaitre les frimousses, aujourd'hui.
Mais le document vaut toutefois son pesant de souvenirs.

vendredi 20 septembre 2019

Corvée "patates"


Elles avaient beau redouter la corvée "patates", elles l faisaient avec le sourire et même...  et même avec un tablier ! .

C'était en 1966, à Petit-Thiers (Vielsalm)

jeudi 19 septembre 2019

Où vont-elles ?



Un kilomètre à pied, ça use, ça use
Un kilomètre à pied, ça use les souliers.
Deux kilomètres à pied, ça use, ça use
Deux kilomètres à pied, ça use les souliers
Trois kilomètres à pied, ça use, ça use
Trois kilomètres à pied, ça use les souliers
Quatre kilomètres à pied, ça use, ça use
Quatre kilomètres à pied, ça use les souliers
Cinq kilomètres à pied, ça use, ça use
Cinq kilomètres à pied, ça use les souliers
Six kilomètres à pied, ça use, ça use
Six kilomètres à pied, ça use les souliers
Sept kilomètres à pied, ça use, ça use
Sept kilomètres à pied, ça use les souliers
Huit kilomètres à pied, ça use, ça use
Huit kilomètres à pied, ça use les souliers
Neuf kilomètres à pied, ça use, ça use
Neuf kilomètres à pied, ça use les souliers
Dix kilomètres à pied, ça use, ça use
Dix kilomètres à pied, ça use les souliers
Onze kilomètres à pied, ça use, ça use
Onze kilomètres à pied, ça use les souliers
Douze kilomètres à pied, ça use, ça use
Douze kilomètres à pied, ça use les souliers
Treize kilomètres à pied ça use, ça use
Treize kilomètres à pied ça use les souliers !
Quatorze kilomètres à pied ça use, ça use
Quatroze kilomètres à pied ça use les souliers !
Quinze kilomètres à pied ça use, ça use
Quinze kilomètres à pied ça use les souliers !
Seize kilomètres à pied ça use, ça use
Seize kilomètres à pied ça use les souliers !

Ouf !
Elles sont arrivées. Mais une faute de frappe s'y est glissée ? Mais où ?



La photo précédente portait au verso l'inscription : "En revenant des sources de Chevron, 13 août 1968".

Quant au présent document, Ghislaine a pris soin d'y écrire :
"Après le rassemblement, Chevron 11 au 21 août 1968 - à droite : Anne-Marie Dewaele, époque de la danse Zorba le Grec. Région des Myrtilles".
Voilà qui devrait rappeler bien des souvenirs.

D'ailleurs, voici un autre cliché du même camp : l'image du départ, au Bizet. Devant la bijouterie de la rue du Touquet, encore pavée.








lundi 26 août 2019

"TROP JOLIE !"


Tel était le titre de la pièce de théâtre jouée par le Patro des Filles du Bizet, vers les années "sixties".
Quand exactement ????
La photo ne représente pas la distribution complète. Qui manque ???
Etait-ce un drame ou une comédie ???
A examiner le cliché... qui jouait "Madame Chapeau" ?


Je vais laisser le plaisir de répondre aux très chères soeurs du Pont du Bizet ainsi que les cousines Germaine !  Elles ne manqueront pas de se creuser les méninges, à moins que cette manifestation théâtrale ne leur soit tombée dans le sac à oubli !

jeudi 22 août 2019

3e photo du Rallye des années 60


Cette photo prise à la limite du préau et de la barrière ajourée en béton de la cour de récréation du Couvent... j'avoue de pas m'en souvenir non plus.
Preuve que la photo est le meilleur support de la mémoire et du souvenir à partir du moment où l'on veuille bien partager les archives et les commenter.
Vraisemblablement, deux dirigeants ploegsteertois partageaient avec moi l'organisation de l'équipe, sans doute des benjamins... à voir l'âge probable des bambins.  Christian Maes et un certain regretté Bamélis, dont personne n'aura oublié sa silhouette bossue.

Si la journée avait sans aucun doute commencé par une messe, il faut reconnaitre que l'ancien couvent offrait et offre encore toujours un parc propice à l'organisation de jeux très variés. De "Cache-Cache" dans les bois, au "Mouchoir" devant le couvent, ou "Les 2 bérêts" dans la cour. 
Ce cliché est le troisième et le dernier de la série des rallyes.

dimanche 18 août 2019

Les traits de ces visages sont restés les mêmes !


Ceux qui se reconnaissent sur cette photo pourront très probablement en préciser l'année exacte.
Mais le plus surprenant de ce souvenir du Rallye des Patros ploegsteertois et bizétois, au Couvent du Bizet, est, selon moi, ces regards d'enfants qui, aujourd'hui adultes, sont restés les mêmes.

Regardez bien !

lundi 12 août 2019

Quittons la scène pour le Rallye !




Ici, c'est le Père Joseph qui pourra s'exprimer royalement puisqu'il était, dès ses débuts de Patronné, un membre du "Patro du Plostère."
Aujourd'hui encore, l'ancienne zizanie qui existait entre les deux localités, celle de Ploegsteert et celle du Bizet, fait l'objet d'une amusante dérision. Cette soi-disant querelle de clocher n'épargnait pas, bien sûr, les Patros des deux paroisses  : celle de St-André et celle de SS-Pierre et Paul.
Aussi, je ne peux m'empêcher de reprendre ici, une blague qui, en son temps faisait fureur entre Bizétois et Ploegsteert :
- "Quelle est la signification du Monument aux Morts, de Ploegsteert, avec son bras tendu ?"
- "Allez tous au Bizet" !

Blague à part, la photo d'aujourd'hui rappelle une journée de Rallye , au Couvent du Bizet, entre les deux Patros.
Un bon exercice pour ceux et celles qui adorent identiifer les visages des uns et des autres.
Qui en étaient les dirigeants ?
Quelles équipes ?
A vos commentaires ! Et déjà, on connaissait le basket ! 

Attention : deux autres photos suivront !

vendredi 9 août 2019

Retournons voir les Filles !!!


"LA MAISON SANS SOLEIL"....; tel était le titre de cette pièce interprétée par le Patro des Filles,
Quand ?
Avec quelles actrices ?
Je ne peux en dire plus !

Quelqu'un le peut-il ?

mardi 6 août 2019

LA VIPERE ROUGE



L'action se passait en Angleterre (mais sur les planches du Bizet) entre les deux guerres. William Park, savant chimiste, aidé par son serviteur Ralston a mis au point une nouvelle formule d'explosif. Il la propose au Ministre de la Guerre par l'intermédiaire de son neveu : le lieutenant Park. La nuit du 18 au 19 septembre, la savant est assassiné dans son pavillon de travail. Wallace Wayland, inspecteur de la Süreté est chargé de l'enquête, il se fait aider par R. Varney, détective officiel. C. Blount, intime du neveu, botaniste et détective amateur apporte sans le vouloir des éléments d'enquête.
Le programme posait la question :  En suivant les différents interrogatoires, saurez-vous, en détective amateur, conclure et désigner l'assassin ???

Les rôles étaient tenus par :
William Park ! Joseph Tancrez
Wallace Wayland : Michel De Witte
Richard Varney : Pascal Bryon
César Blount : Jacques Schouteten
Harry Park : André Pauwels
Eric Ralston : Jean-Marie Schouteten
Médecin Légiste : Gérard Peeren
Deux policiers : José Pauwels et Michel Verslype