Un voyage inoubliable, à Florence !

Puisqu'on parle de pèlerinage en chemises vertes, revenons à ce grand voyage à destination de la Rome Vaticane et  de la belle Florence que le patro des filles a accompli ! Une bien jolie photographie que ce rassemblement des jeunes Bizétoises, en cravates jaunes et jupes plissées sur cette place antique où se dresse fièrement et sans pudeur la colossale statue en marbre blanc de Neptune entouré de ses quatre naïades donnant vie à la fontaine. Une oeuvre réalisée par B. Ammannati en 1564 !

Bizarrement, les Bizétoises ne semblent pas y prêter beaucoup d'attention.  

Recherchaient-elles une copine retardataire ?  Ou résistèrent-elles courageusement à la tentation de péché de chair ?
A cette époque, Mai 68 était encore loin... (Rappelez-vous : il est interdit d'interdire) ! 
Mais, heureusement, les voyages ont toujours formé la jeunesse magré tout !

Grâce à Google, aujourd'hui, on peut revoir entièrement cette Fontaine, et... en couleurs !  

les Patros se métamorphosent !

(article paru le 13 août 2008)

A vrai dire, je doute si ce document évoque une certaine journée de "reprise" de Patro... au temps où la cravate jaune avait disparu, de même qu'un aumônier. De plus, le nom d'un saint, ou d'une sainte avait-il encore le privilège de patronner le mouvement ?  Le Patro St-André pour garçons et le Patro N.D. des Jeunes, pour filles, avaient fusionné pour devenir patro l'Oasis !

Ce patro-là connaîtra aussi un accouchement bien curieux en donnant naissance à une association sportive d'athlétisme qui prendra le nom de Oasis, également.  Son évolution sera telle que, par la suite, ce club sportif deviendra Hainaut-Sport, puis E.A.H. qui existe toujours aujourd'hui et qui, tout à son honneur, persévère dans sa conquête aux titres de champions !

Etait-ce un rassemblement pour un départ compétition ? En quelle année ?

Je crois que c'était bien un départ pour une compétition du CAO. Je pense que ce doit être en 73 ou 74

Écrit par : véronique Coquel | 14 août 2008

a droite auréa vantomme ,christian declerq, et momo avec une cigarette

Écrit par : brigitte | 14 août 2008

a l'extreme gauche franck ,au-dessus 3eme eric ,et a l'extreme droite rudy ;moi je suis sur la photo d'avant 2eme en bas a droite.que de souvenirs

Écrit par : martine | 15 août 2008

Pas certain, mais je crois reconnaitre sur la premiere photo: debout a droite Eric Bossaert, assis a gauche Christophe Cousin, Stephane Debruyne.

Écrit par : francois | 15 août 2008

Sur la 1ère photo, il y a Jean Declercq, Christine Braem, Isabelle Verslype, Maryse Vandevyver, moi, Dominique Deleu, Didier Bouckenooghe, Isabelle Braem, Valérie Declercq, Linda, Vandevoorde, Catherine Verslype, Eric Bossaert, Nadine Wittezaele.
Les 3 premiers petits à gauche : Frédérik Dewilde, Christophe Cousin, Stéphane Debruyne

Écrit par : véronique Coquel | 16 août 2008

je suis aussi sur l'autre photo

Écrit par : martine | 17 août 2008

je suis en haut a gauche

Écrit par : ooghe werner | 02 septembre 2008

bien vu werner!
t'es le seul avec 1 bonnet comme t'avais tj froid aux oreilles!

Écrit par : ooghe anne-marie | 03 septembre 2008

Presque toute la jeunesse masculine du Bizet, d'après-guerre !

A remarquer l'importance de ce groupe, ainsi que l'inclinaison des ombres portées, peut-on supposer qu'il s'agit, ici aussi, d'une photographie rappelant une journée de reprise, en septembre... dans la cour de l'école des garçons, rue de l'église.

Avec, évidemment la présence du vicaire Roger Druart et des présidents Henri Dupon et René Daeren.

J'essaie d'identifier tous les autres  :  de gauche  à droite
au sol : x, Michel Debey,  Serge Quidouce, x,x, x, Christ.Werquin + MDW, Alain Werquin, x,
1er rang : René Parmentier, Michel Soenen, Alain Braem, Jules Verfaillie, x, Raoul Soetaert, Luc Verfaillie, x,x, Jacques Schouteten,
2e rang : Gérard De Witte, René Rouzé, Carlos Verfaillie, Devos, x,x, Fr. Van Massenhove, Bernard Degryze,  x, Lucien Maxy, x, Jackie Declercq, Michel Denys
3e rang  : x, Vicaire Druart, Yvon Lecourt, Georges Wyffels, René Daeren, Henri Dupon
dernier rang : x, Leonce Laroye, Michel Adam, Jacques Van Massenhove, Michel Cousin, Vansteenkiste, Pierre De Witte, Jean-Louis Tancrez

Ai-je oublié des noms ?  Me suis-je trompé ?  Cette photo doit dater, si mes repères sont bons, de
1953 !  Donc, je vous prie de bien vouloir m'excuser pour les lacunes en x, ou les erreurs !

Exercice d' identification !

Voici une autre photo de reprise de Patro : celui les Filles.  Avec le document précédent, il s'agit très probablement de la même année, au même moment. 

Et, curieusement, les deux messieurs à chapeaux sont encore là !
A vous de les reconnaitre !   Ainsi que ces demoiselles ! 

Une première photo de reprise du Patro !

A bien observer les "look" de chacun, cette photo doit dater de 1963 ! Mieux, elle doit avoir été saisie, à la sortie de la messe de reprise, en septembre ! Et, de plus, vu le négatif 6x6 retrouvé dans des archives du patro, il ne serait guère étonnant que le photographe était... Emile Menu, seul journaliste local à l'époque. Ceci nous donne l'occasion de remercier Damien, son fils, qui nous offre l'occasion de revoir et revivre des événements du temps passé.

Pour le plaisir de reconnaitre tous les bambins qui sont accroupis !
Pour les autres, debouts dans le fond... c'est trop facile !

Avec la bénédiction du Père Joseph ?

Selon Stéphane D. voici un document issu d'archives Nord-Eclair sur lequel on peut reconnaitre pas mal de Bizétois.
A bien examiner le mobilier, la réunion devait se tenir dans la petite salle de "gauche", au Couvent et ce en compagnie de filles et de garçons. La mixité semblait être de mise, de même que la complicité de parents.
Mais quel était l'ordre du jour de cette réunion ?
Un ancien pourra sans doute éclairer notre lanterne.


Commentaires


Je suis sur la photo mais je ne me souviens plus de la raison de la réunion. Peut-être la préparation d'un repas ou d'une fête ?
Écrit par : véronique Coquel | 06 août 2008


Puisque personne ne se décide je mets les noms :
Ghislaine Pauwels, Véronique Coquel (les cheveux) Patrick Cousin, Anne-Françoise Deleu, Yolande Denys, Francis Joseph, Stéphane Duflo, Thérèse Daeren, Jean-Marie Rotsaert, Jean Verslype, Fabrice Verslype, Mona Montaine et Eric De Kee
Écrit par : véronique Coquel | 08 août 2008


Je pense qu'à la place de Mona Montaine, c'est Florimonde Loridan qui a été, à une certaine période de galère près de Babaorum, d'un très grand secours pour désamorcer les mines posées dans cette localité.
Écrit par : Francis JOSEPH | 08 août 2008


Oui c'est bien Florimonde, n'est-ce pas une réunion pour la croisade du père Joseph dont on aperçoit la croix à sa gauche?
Écrit par : Maurice Dupon | 08 août 2008


vero tu est la plus forte pour reconaitre les anciens tu avait presque tout bon sauf que c'est bien florimonde et je crois bien que c'était le preparation d'un repas et nous avons demandée l'aide des parents et bien attendu des anciens francis et eric car a ce moment là il fallait le relancer car c'étaient les années difficiles pour le patro encore merci a eux pour leurs coups de main et la bonne humeur qu'il y avait entre nous "nostalgie"
" nostalgie "
Écrit par : DUFLO STEPHANE | 08 août 2008


Tout à fait c'est bien Florimonde, j'avais beaucoup hésité ne me souvenant pas de Florimonde aux réunions sauf pour la fameuse croisade dont parle Francis.
Écrit par : véronique Coquel | 09 août 2008


Père Joseph portait il toujours sa croix sur son épaule ...?
Écrit par : Joseph Dupon | 28 août 2008

Souvenirs de Dadizeele

Maurice D. nous propose de revivre, par cette photo, le grand moment de l'entrée solennelle de la paroisse St-André, en la basilique de Dadizeele. Les commentaires des Patro-Bloggeurs nous indiquent que les souvenirs sont encore bien ancrés dans les mémoires.
Tel que la présentation de l'impressionnant cierge que, délicatement, Henri Dupon retire de sa boîte. Les Bizétois, en procession dans l'église, iront installer cette bougie sur son candélabre.
Et au plus grosse elle était, au plus elle révélait, non seulement ferveur des pélerins mais aussi... leur générosité lors de la quête prévue à cet effet.
Les patros y participaient, bien évidemment pour les cantiques "processionnels".
Après les dévotions traditionnelles, nous eûmes droit à la partie récréative du pélerinage : aller jouer au Dadipark :  tobogan, balançoires, tonneaux, bateaux, pont de singe,.... etc  (photos ci-dessous : piquées du net)

La princesse de Monaco, au Patro !


J'aime bien cette photo extraite de l'album du Patro des Filles. Et je ne sais pas dire pourquoi !  Sans doute, parce qu'à l'époque, j'ignorais l'existence  de cette petite patronnée, à gauche, fin prête pour participer à un sketch !

Comment aurais-je pu le savoir ? Entre les deux patro, il existait une cloison énorme, invisible, tel un véritable INTERDIT, de sorte que les garçons ne puissent... même pas apercevoir les filles.
De plus, la petite patronnée a fait l'essentiel de son école primaire... au Bizet France ! A l' "école des païens" comme disait la rumeur !  A l'  Ecole Laïque, comme disaient les moins calotins.
Heureusement, cela n'empêchait pas le patro. Pour récupérer les brebis égarées, sans doute ???

Depuis beaucoup d'années ont passé.
 Réjane, car c'est d'elle que je parle,  n'est pas restée célibataire !
Et moi non plus !


Selon Brigitte Dupon. : CETTE PHOTO date de l'année de mes 14ans ,et c'est moi qui ai eut l'idée qui l'ai mise en scène, c'était le mariage de Grace kelly et de Rainier de Monaco. Que de répétitions ! Nous avions eu la cariole a Adolphe Declerq. La marié Brigitte Van Massehoeve le marié Francoise Dupon,demoiselle d'honneur Brigitte Dacgnies et liliane Rouzé, les patronnées Réjane Sobry et Liliane Deportere que de monde pour le spectacle et que du bonheur. je dois encore avoir cette photo ,et que de bon souvenirs c'est génial.

Avec une pensée pour Yolande !

La Paroisse St-André organisait autrefois, chaque 2e dimanche de septembre, un grand pélerinage à Dadizeele où, ce dimanche-là, une grande procession parcourait les rues de la ville mariale flamande. Les deux patros y participaient, évidemment, en grande tenue de chemise verte et cravate jaune, chapelet en main !
Quel était encore cette croyance que les fervents pélerins attribuaient au port d'un certain fil rouge ?
Etait-ce bien à Dadizeele ?  Mes souvenirs sont flous.
Par contre, je me souviens bien que l'obligation de ce pélerinage... privait les Bizétois du cortège de la Fête des Nieules.

Basket ? ou Ping-Pong ?

Une fois de plus, nous voilà encore et toujours plongés dans l'époque 1950, au milieu de la cour de l'école des garçons, rue de l'église. Deux photos issues de la collection du vicaire qui illustrent le décor aujourd'hui totalement disparu.
Pour jouer sous les ordres du dirigeant (1ère photo - Michel Adam) on y venait en tablier gris, (ce sarrau enfilé aussi pour l'école) fait de cette grosse toile grise.







Sur la 2e photo, les joueurs de ping-pong ont interrompu un instant leur partie pour poser fièrement devant le Kodak du vicaire. Mais qui sont ces deux patronnés.
S'agit-il bien de notre regretté... Mickey ?

Du précieux Kodak du Vicaire !


Le mur du fond et le montant y accroché indique que cette photo a été prise dans la cour de l'école des Garçons, rue de l'église. C'est Véronique C. qui appréciera ce document, si elle ne l'a pas encore vue.
 Mais qui est donc ce gamin, debout, portant un calot sur la tête ??? C'est M. Jean-Marie Lernout !
 Allez, je ne vais pas vous gâcher le plaisir de procéder à l'identification de ce beau petit monde, en chemise verte.

Jupes et cravates de rigueur !


Je sais....  Les clichés-souvenirs qui passent sur le blog sont un peu... pêle-mêle !  
Pourquoi ? 
Pour attirer l'attention de toutes les générations qui se sentent concernées par ce mouvement de jeunesse qu'a été le ou les patros du Bizet.
Les notes sont classées par catégories. Il est donc toujours possible de se repérer, chronologiquement, dans ce demi-siècle d'histoire.
Ici, admirons un cliché que nous confie Marie-Jeanne D. avec comme seule mention :"un camp en 1965".

Tous au Bois de Boulogne

Le Château Breuvart en ruines, durant la guerre 14-18

Mon premier "voyage scolaire", avec "Monsieur Albert", Dacquegnie,  en 1ère année, fut la visite des... ruines du Château Breuvart, au sommet du Mont de la Hutte. Une poutrelle d'acier, coincée en position oblique depuis la destruction de l'édifice, par bombardements allemands en 1914, m'a laissé un souvenir intarissable pour mes premières joies éprouvées sur ce toboggan de fortune.  En effet, l'âme de cette poutre en fer était si lisse que bien des fonds de culotte s'en sont usés.

Le Patro aussi, lors de ses ballades dominicales, avait la Hutte pour destination. Le "Bois de Boulogne" nous a souvent servi de décor pour être l'endroit préféré  des jeux de bois, de cache-cache ou de... pique-nique.
En voici quelques photos et quelques frimousse que je vous laisse identifier !

(Photos collection Druart et Maurice Dupon)

Des Patronnés Patriotes


C'est en quelque sorte une photo officielle que l'on peut admirer, car, si le patro se résumait à une petite vingtaine de garçons, aux environs de l'an 1955(?), c'est en tout cas celle qui parut, un jour, dans la fameuse revue de "PAT".
A cette époque, si le Patro baignait beaucoup dans la prière et le jeu, il affichait aussi un certain patriotisme. Lors des rassemblements, à 16 h 30, le dimancheaprès-midi, ne hissait-on pas les couleurs nationales ?  Les gosiers entonnaient la Brabançonne ou "Dans nos Patros" ? 

Le respect du Mot-d'Ordre du mois était aussi motif à émulation. Le meilleur patronné avait le droit de porter un tout nouveau "Fanion d'honneur'" que l'on peut voir dans la main de... Daniel Reybrouck.


Y figurent :
Accroupis, de G à D : René Rouzé, Jules Verfaillie, un certain Devos, Bernard Degryze, Christian Dewilde

Debouts, premier rang : Lucien Maxy, Carlos Verfaillie, Jean-Pierre Braem, Daniel Reybrouck, Pierre et Gérard De Witte, Raoul Turcq

Debouts, deuxième rang : Léonce Laroye, Jacques Van Massenhove, un VanSteenkiste, J.L. Tancrez, René Daeren, Robert Hoorelbeke

Catherinette est au balcon...

Malgré l'activité ludique des grands réservées au Couvent, le dimanche après-midi, la rue de l'église connait toujours la même animation avec les plus jeunes patronnés. De nouvelles têtes arrivent, si bien que le Vicaire Druart doit faire appel à du renfort : Henri Dupon et René Daeren viennent prêter main forte pour diriger cette bande de garnements en pleine puberté.
On y chante : "Catherinette est au balcon, au balcon, au balcon...."
On y joue : aux 2 bérêts, l'entre-deux-feux, la poulouche, la balle à la chasse, le chat croisé et même... au mouchoir.

En carrosse, devant le "préau" !

Encore une photo d'Yvon Lecourt, en compagnie de son équipe, groupée sur un vieux "carrosse"... laissé  (ou oublié par qui ???  ) dans la cour du Couvent.
Curieusement, à la même époque, et également abandonnée sous le préau de béton (côté chapelle), trainait aussi  une vieille voiture cabriolet verte. Qui en étaient les propriétaires ?
Quand à Sara, le cheval noir de M. Adolf Declercq, il bénéficait de tout l'arrière du parc du Couvent pour soit brouter paisiblement, soit galoper chaque fois que des patronnés espiègles voulaient l'effrayer durant sa quiétude vespérale. Les garnements que nous étions, planqués derrière la clôture, se postaient aux quatre coins du parc pour ne lui laisser aucun espace de tranquillité.

Notons aussi, sur ce cliché, l'état dans lequel est resté le préau du Couvent, après la guerre 40-45. Un gigantesque incendie l'a complètement détruit. Les Allemands, durant l'occupation, y avait, parait-il "stocké" des munitions.

Deux profils, une poignée de mains !

Reconnaissez-vous ces deux messieurs prêts à se congratuler avant de se quitter. 

Comment ne pas se souvenir de l'enthousiasme que témoignait le directeur du patro, le vicaire Druart, pour faire vivre son patro dans l'esprit de la prière et des obligations liturgiques.
L'assistance à la messe en semaine ou aux vêpres chaque dimanche à 14 heures nous faisaient mériter, à nous petits patronnés en culotte courte, un cachet "PROFICIAT" tamponné après l'office sur un carton de présence. Lorsque toutes les cases furent remplies, nous avions droit à un joli cadeau : une statuette de la vierge, haute de 15 cm, ou d'une tête de Christ en plâtre. Une véritable incitation à la pratique assidue à l'église ! Et quelle fierté en recevant le cadeau promis ! En espérant sans doute de faire naître quelques vocations  ???
Chaque dimanche soir, à 19 heures, à la fin de la journée du Patro, une longue prière  du soir nous plongeait tristement dans une ambiance cafardeuse.  "Demain, c'est l'école !" pensais-je !  Le vicaire Druart nous distribuait un double feuillet avec une ribambelle de prières que l'on ânonnait sous l'effet de la fatigue.
Plus de 50 ans plus tard, je n' ai pas oublié la mélodie de ce cantique aux paroles suivantes : "Nous voici rassemblés pour vous prier, Ô Père..."
Qui se souvient de la suite ?

Garde... à vous !

Grâce à l'uniforme que porte le militaire, il est très facile de dater exactement cette photo.
Yvon Lecourt, en permission, était venu rendre visite au Patro pour y rencontrer les jeunes de son équipe.  Quel plaisir de les revoir à cet âge, car on les connait tous. Enfin non, pas tous...
De plus, ce cliché (toujours de la collection du vicaire Druart) illustre l'état dans lequel se trouvait l'actuelle cour de récréation de l'école des Garçons du Domaine.  Un terrain de basket avec les panneaux y avaient été aménagés par les Pères !

On y reconnait, debout, de G à D :
Roger Storme, René Rouzé, Yvon Lecourt, Pierre De Witte,  Maréchal, Michel Denys,
accroupis : Jacques Van Massenhove, Gérard De Wite, Raoul Turck,  et  X?

Au Patro, on y joue...

Voici encore deux clichés de cette fameuse époque du PAT, la revue des Patro.
Le bâtiment du "Cercle Catholique", près des 4 Poteaux, fut vendu à G. Van Uxeem pour devenir "la Maison du Peuple"..
La jeune gent masculine fervente à la paroisse alla donc trouver refuge au Couvent des Pères Assomptionistes, exactement dans l'actuelle cantine de l'école.
C'était autrefois le local servant de bibliothèque à l'Alumnat.

On y jouait au billard-gold, au flipper...

Patronnés, enfants de choeur potentiels !


Le Patro des Garçons était et a toujours été le "réservoir" duquel le clergé recrutait ses enfants de choeur.

Les reconnaissez-vous, ceux-là de 1953 ?

Cet honneur de garçons bien sages, s'il comprenait bien des obligations tels les réveils matinaux, la récitation élémentaire "Confiteor" en latin, l'allumage des bougies, le port du surplis, offrait néanmoins certains avantages tels que :

- une gratification mensuelle de 50 francs belges

- une tournée de Pâques pour se voir offrir des oeufs de la part des paroissiens

- une "quête avec ruban" lors de la sortie des mariages

- le petit-déjeuner après les extrême-onctions.

En photo, dans le jardin du curé Cardon, : Pierre, Jacques et Jean-Louis