mardi 25 juin 2019

J'aime particulièrement ce cliché !


Une promenade des Patronnées lors du camp de 1964 à La Cuisine. Nous avons vu précédemment toute l'impeccabilité de l'uniforme qui caractérisait celles que le portaient.
Devant ce viaduc, enjambant la Semois, cette balade méritait d'être immortalisée sur cette pellicule, d'autant plus que la lumière révèle un chaud et brillant soleil.
Chemises vertes et cravates jaunes... Il s'y dégage une réelle fraîcheur mêlée à une douce liberté !
A lire ce qu'est écrit au dos de la photo, quatre mots en disent long !
"... Et hop, les jupes sont enlevées !"
Comme on peut les comprendre... aujourd'hui !

Mais... c'était bien avant la mode "Courrèges" et quatre ans avant les événements de Mai 68 d'où est né le slogan : "Il est interdit d'interdire !"

samedi 22 juin 2019

Casse-croute, le long de la route !


Décidément, le port de l'uniforme de la chemise verte, chez les Filles, n'était pas un vain mot !
Voilà le moment de casser le graine chez les campeuses bizétoises, quelque part en Ardennes.
Avec à l'arrière-plan, des rochers et un camping encombré de caravanes...
Déjà !...
Bon appétit, Mesdemoiselles ! La route sera encore longue, sans doute !

Mais c'était où ?

mercredi 19 juin 2019

Qui reconnait ce petit autel ?


Cette semaine, nous poursuivons notre regard sur les Filles.
Encore un très joli cliché, éloquent de l'atmosphère très dévote qui régnait au sein du Patro des Filles, en camp à... (il me sera toujours impossible de préciser l'endroit).
Quant au talent du photographe, on peut lui mettre un 9/10 pour l'angle de vue. Dommage que la jeune fille à l'extrème droite soit coupée.


Y-a-til une lectrice de la blogosphère "PAT" qui reconnait l'endroit ? Merci d'apporter quelques précisions !

lundi 17 juin 2019

Heureusement qu'elles étaient là !


Bin ouais..... Heureusement qu'elles étaient là ! Les Filles !
Sinon, nous n'aurions pas eu une seule photo de feu de camp, à présenter sur ce blog ! Même pas avec les Garçons !
Pourtant, en soirée, lorsque l'ombre s'étend sur la terre...pour la plonger dans l'obscurité, les campeurs vivent chaque fois des moments de grande fraternité !
"Monte, flamme légère..."   Le regard s'éloigne vers les étoiles ! Un bâillement s'étire !   La couverture ne suffit plus pour réchauffer le dos, les bras ! Après quelques chants entonnés proposés par le répertoire FNP, les paupières se font lourdes ! Dirigeants ou Campeurs, on est tous fatigués !
Vient alors le moment de la prière suivi du coucher.  De l'extinction des feux !  Dodo, tout le monde !
Mais...  
Bizarrement, l'envie d'aller dormir est passée. Place au chahut... !  En avant toute... pour les farces silencieuses !

samedi 15 juin 2019

En mélodie avec Soeur Sourire !


Quel joli cliché !  En l'admirant, j'ai l'impression de réentendre Soeur Sourire qui, en 1963, a composé et interprété "Dominique", une chanson belge qui n'a pas encore été détroné de son record en Belgique : deux millions de disques !
Quarante-cinq ans plus tard ...(c'était en 2008)  , il est question de réaliser un film sur cette none chantante, un rôle interprété par Cécile de France, l'actrice belge namuroise.
Quant aux patronnées formant une ronde en se croisant les bras... rien à dire : la rigueur de l'uniforme mérite autant d'éloges que leur sourire !  Bravo, Mesdemoiselles !  Ces exceptionnels moments-là, vous les avez vécus ! 
Impossible à revivre aujourd'hui !

jeudi 13 juin 2019

Un autre départ ! Celui de ces demoiselles !


Belle photo que ce rassemblement pour un départ en camp !  A inspecter les présentes, ce doit être à destination de... La Cuisine, encore.
C'est mon petit doigt qui le dit !
De plus, la façade devant laquelle pose le groupe semble bien difficile à reconnaitre.

Pour ce qui est des visages... laissons ce plaisir aux spécialistes !

jeudi 6 juin 2019

On avait dit "Corvée Paillasses" ?


A voir les ardoises fixées au mur, on peut déduire qu'il s'agit du camp du Patro des Filles, à La Cuisine, en 1964.
Pas facile de remonter le temps, avec précision, n'est-ce pas ?
Si, dans la note précédente, les garçons pouvaient bénéficier d'un attelage pour transporter leurs paillasses une fois remplies, il en était tout autrement pour les Patronnées chères à Mademoiselle Marthe et Soeur Marie-Paule.  Comme en témoigne ce cliché, où, au centre, on peut revoir Nelly V., la corvée "paillasses" ne manquait pas de charme non plus !
Mais... nous reviendrons largement par la suite sur les occupations des patronnées au cours de leur séjour ardennais.
Une question se pose toujours :
Pecq ?   Sclayn, La Cuisne ou encore d'autres lieux ? 

Il faudra que les "blogueuses" du coin se remuent les méninges pour apporter des précisions !

mardi 4 juin 2019

Corvée "Paillasses"


Dès l'arrivée au village de campement, la première corvée générale était, bien sûr, la mission "paillasses". A Romedenne, une charrette avait mise à notre disposition par je ne sais quel riverain. Notre hôte ?  Peut-être ! 
Toutes les paillasses, une fois remplies, étaient chargées sur cette plate-forme.  Pour empêcher qu'elles ne roulent en bas au cours du transport, les patronnés-campeurs eurent la géniale idée de s'étendre par-dessus les sacs pour les retenir. Un convoi de première classe !
Aussi, le remplissage de paillasses a toujours été l'un des souvenirs les plus pittoresques des camps !  De la paille à gogo, arrachée des ballots, bourrée par brassées dans ces housses de matelas... Il n'en fallait pas plus pour déclencher de grosses bagarres semblables à celles des... batailles de coussins.
Et René D., le président, avait beau s'époumoner pour maintenir le calme, il riait bien volontiers tout en étant attentif à la sécurité. Pas de Richmond à ces moments-là !

Moins marrant était le fait que, à partir du 5e 6e jour, certains patronnés, plus préoccupés par la rigolade entre copains lors du bourrage des paillasses, dormaient presque à même le sol par manque... de paille à l'intérieur du sac !


lundi 3 juin 2019

Avec le "P'tit Vicaire", en voiture !



Le jour J du départ pour Romedenne. Plusieurs dirigeants se rassemblent chez le vicaire Jean Hollaert pour une dernière mise au point de le trajet. Les campeurs partent en train pour gouter aux plaisirs du rail.  "L'aumonier", pour ne pas dire "vicaire ou directeur",  fera le voyage à bord de sa voiture... une R8, accompagné très probablement de John D. , René T. et Gérard DW., les trois qui ne figurent pas sur la photo de la gare (à Bruxelles-Midi... selon José P.)


Mais attention, en 1963, l'autoroute de Wallonie, l' E403 d'aujourd'hui, n'existait pas. Il fallait passer de ville en ville par Mouscron, Tournai pour atteindre Mons... sur une portion d'autostrade. Quitter Mons en direction de Beaumont, y faire une halte pour une dévotion mariale et aussi pour marquer le début des Ardennes.  Quelle expédition ce fut lorsque nous avions, en compagnie de René D, et Jacques S. effectué ce voyage pour dénicher ce charmant petit village de Romedenne, ce, sur les conseils successifs d'ecclésiastiques qui, en fin de compte, se renvoyaient la balle... par charité chrétienne !