Dans une note précédente, j'évoquais cet écran blanc peint sur le mur de la salle du patronage.
Combien de fois, en hiver, nous sommes-nous assis sur des "bancs" en bois, les jours de pluie, pour assister au cinéma du vicaire.
Cela se résumait a de petits films projetés grâce à sa lanterne magique !
Sont-ce ces séances de cinéma qui m'ont donné le virus de l'image, du film et plus tard de la photo, de vidéo numérique ???
Cela se résumait a de petits films projetés grâce à sa lanterne magique !
Sont-ce ces séances de cinéma qui m'ont donné le virus de l'image, du film et plus tard de la photo, de vidéo numérique ???
Toujours est-il que ce cinéma-là, était bien du "stop-film". Un titre m'est resté en mémoire : "Le Dernier des Mohicans" ou encore l'une des aventures de Tintin.
Le "stop-film" se résumait à faire défiler manuellement des images transparentes en noir et blanc extraite d'une bande dessinée. Le vicaire aimait ces séances de cinéma, bien loin de ce que le "cinéma Brussin" proposait. .
Et, comble de la corvée, un patronné devait lire les bulles à haute voix !
Le "stop-film" se résumait à faire défiler manuellement des images transparentes en noir et blanc extraite d'une bande dessinée. Le vicaire aimait ces séances de cinéma, bien loin de ce que le "cinéma Brussin" proposait. .
Et, comble de la corvée, un patronné devait lire les bulles à haute voix !
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